Rencontre sur les Montagnes des glaces éternel [PV Vincent Snow]

Dépaysé moi
Bienvenue sur la Terre des Glaces ...

Cette neige ralentit mes pas ... J'aurais bien voulu aller plus loin par les voix aériennes grâces à notre technique de vol qu'on utilise dans mon village, mais je ne pouvais pas aller au-delà des montagnes. J'avais augmentée ma chaleur corporelle pour pas avoir froid, déjà que je porte des vêtements extrêmement léger. Vu que j'avais augmentée très fort ma chaleur corporelle, la neige qui se trouve autour de moi fondait à une vitesse hallucinante. Tant mieux, je marcherais plus vite maintenant. Je n'avais pas mon épée, je l'avais fait disparaître. Elle me ralentirait beaucoup plus, c'est une grande épée, une masse. Je m'étais entraînée à pouvoir la soulever. Elle était maintenant, pour moi, légère comme une plume ! Bien sûr, on ne voyait pas physiquement ni moralement que je m'étais entraînée pour la soulever, comme ça, mon ennemi se dirait " Elle ne pense vraiment pas à pouvoir me battre avec cette épée ?! Cette épée est plus lourde que son poids et plus grande qu'elle ! ". Il aurait cru qu'il avait tout l'avantage. Déjà que je suis une femme donc ... Encore plus sûr mon ennemi.

J'étais maintenant arrivée au sommet de la montagne. Je regarda autour de moi. Les nuages m'empêchent de voir en bas de la montagne. Bien dommage, j'aurais voulu voir le bas pour me sentir invincible. Sa serait bien mieux si sa était près d'une ville. La Capitale Galec a-t-elle des montagnes proches de sa ville pour moi ? Peut-être. Je regarda en bas. Une belle pente. Pas trop vertical. Je pourrais me laisser glisser jusqu'à en bas. J'utiliserais mes bras pour me ralentir. Ils étaient griffues, il me servait beaucoup. Je regarda toujours en bas, mais cette fois, pour voir si il n'y avait pas une rivière gelée. ça serait beaucoup amusant si en plus, y aurait des obstacles ! Finalement, je la trouva. Je me laissa glisser jusqu'à la plaque d'eau gelée. Mes pieds devant, j'étais sur le côté, une seule main me ralenti, l'autre, le long du corps. Une fois que mes pieds toucha la plaque, je lâcha, me releva très vite et c'était parti.

Merci que mes godasses soient presque comme des patins à glace. C'est très utile. J'étais maintenant dans ces nuages, c'était comme une brume, super ! Comme ça, j'ai beaucoup plus de chances de dire bonjour à la Mort. Elle est mon amie, ma seule amie. Je ne savais pas très bien me faire des amis moi. Pour le moment, je servais que pour elle. Tuer des gens que pour elle, c'était comme des offrandes pour elle. D'un coup, le paysage de brume, les nuages disparaissaient pour laisser place à un tunnel ... Avec des cristaux coller aux murs et au plafond parfois même, près ou sur la rivière gelée. Je restais neutre même devant ce décor. C'était peut-être magnifique, mais il me fallait bien plus pour m'émerveiller. Une lumière m'aveugla lors d'un virage. Ce n'était pas le premier virage dans ce tunnel que j'avais rencontrée mais peut-être le dernier. Oui, c'était le dernier. Car cette lumière aveuglante était la lumière du jour. Je mis mon bras près de mes yeux pour me protéger de la lumière.

Je sortis du tunnel, je débucha près d'une cascade gelée qui se déversait avant (si elle n'était pas gelée avant) dans un grand lac. Prête pour le grand saut moi. Il y avait en plus, une pente, cela accéléra ma vitesse, une fois arriver au bord de la cascade, je sauta et me réceptionna sans problème. Si je revenais par ici un jour, je referais ça encore une fois. Je regarda derrière moi et regarda droit devant moi. Bon ... Faut pas que je tarde sur cette glace car ma chaleur corporelle risque de faire fondre la glace en quelque minute et je ne sais pas si elle est épaisse ou fine cette couche de glace ! Je me dirigea vers la berge de ma droite. Je marcha un peu dans la neige, m'éloignant ainsi du lac, je me suis assise près d'un arbre, j'étais un peu dépaysée, faut dire quand on a habitée le désert pendant toute son enfance et que on va à la Terre de Glace, sa change vraiment beaucoup.

© Nightmare sur Épicode.

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Ce matin là, je me réveilla dans le grand lit du souverain des terres, autrefois appartenant à mon père et ensuite à mon frère. Aujourd'hui cette pièce était à moi, le seul souverain de la terre des Glaces. Après quelque minute, je décida de quitter la chaleur de mon lit, je m'étira et me dirigea vers le feu qui venait d'être allumé par un serviteur. Cela faisait du bien d'être servit, car autrefois je devais me débrouiller seul, car j'étais seulement le bâtard du roi et que la reine ne voulait pas qu'on m'aide pour quoi que ce soit. Je resta près de la chaleur du feu un bon moment avant de me décider à me préparer. J'enfila mes vêtements habituels. Un pantalon gris, un chandail et par dessus une tunique noir et sans oublier ma longue cape grise avec de la fourrure pour me garder au chaud. J'enfila également mes bottes noirs et me recoiffa un peu. Je me devait d'être parfaitement présentable devant mon peuple. Je laissa tout en plan au serviteur qui allait passer derrière moi pour ramasser et ranger. Je quitta la pièce pour me rendre jusqu'à la salle du trône. Quelques gardes me saluèrent respectueusement à mon passage, j'hocha simplement de la tête en continuant mon chemin. Finalement, j'arriva dans cette pièce, au fond de celle-ci ce tenait une sorte de grand banc, là où habituellement je m'assistais, mais pas aujourd'hui. Je ne fit que le regarder en étant au beau milieu de la pièce avec un sourire satisfait sur le visage. C'était à moi, j'avais acquis le pouvoir sur ces terres et maintenant rien ne pourra m'enlever ça. C'est à ce moment qu'elle décida d'entrer. La reine. Je me retourna vers elle avec toujours le même sourire. Sur son visage on voyait le dégout et la haine, j'étais habitué à ça, elle m'avait toujours regardé ainsi. Pendant qu'elle approchait, je décida de couper le silence.

" Bonjour ma dame, il y à un problème? " Je savais pourquoi elle était venue, mais je jouais l'innocent bien sûr. Elle se planta devant moi toujours aussi furieuse qu'avant. Je voyais qu'elle se retenait de me frapper, elle l'avait toujours voulue, mais n'avait jamais pu le faire, sauf une seule fois, mais elle avait prit chère ensuite. Elle prit ensuite la parole d'une voix dure.

" Je sais que c'est vous qui avez tout organisé pour que mon fils ce fasse attaquer pendant sa garde en ville " Et oui c'était moi, mais elle m'avait menacée de tout révéler au sujet de la mort de mon père et de mon frère, je n'avais pas eu le choix que de lui montrer un avant gout de ce qui pourrait arriver à son fils si elle venait qu'à faire une telle chose. Elle le savait très bien que je n'hésiterais pas à tuer mon propre frère seulement pour garder ce secret bien caché. Je répondis avec toujours le même sourire satisfait. " Vous n'auriez pas du me menacer, vous savez très bien ce qui peut lui arriver. " Après ces mots, elle tourna les talons et quitta la pièce. Elle ne pouvait rien contre moi, elle tenait beaucoup à son fils pour le perdre. Tout contrôler était un grand plaisir pour moi. Je décida ensuite d'aller chasser, car j'avais besoin de bon air pur. Je décida d'y aller seul, mais fut brusquement arrêté dans le couloir par mon frère qui insista de venir avec moi pour ma sécurité. S'il savait ce que j'avais fait, jamais il n'agirait ainsi avec moi, il était tellement idiot et naïf. Je lui avait volé sa place de souverain, la lettre que nous avions trouvé était une fausse, bien sûr, si je n'avais pas fait cela ce n'est pas moi qui serait au pouvoir. Je regarda mon frère, les blessures sur son visage était à cause de moi et j'en étais fière. Bref, je refusa qu'il m'accompagne et quitta le palais sans attendre et la capitale pour me rendre dans les montagnes.

Lorsque je fus suffisamment loin de la capitale, je me transforma en loup, mais pas un loup ordinaire. Je faisais presque deux fois d'un loup normaux. Ma fourrure était d'un magnifique blanc qu'on me percevait à peine dans la neige et des yeux rouges. Je marcha longtemps à travers les montagnes ne m'arrêtant pratiquement pas. Je croisa d'autre loup dans ces montagnes. Ces derniers me regardèrent passer sans réagir. Après plusieurs heures de marche, j'arriva près d'un grand lac gelé, avec aucune difficulté, je m'engagea sur le lac. Je vivais ici depuis ma jeunesse, donc marcher sur la glace même sous forme humaine, je n'es plus du tout de difficulté. Je remarqua bientôt des traces de pas sur la couche de glace, comme si la glace avait fondu sous les pieds de la personne. Je regarda dans la direction dans laquelle les pas allaient. Les gens ne s'aventurent pas aussi loin habituellement, cela m'intriguait. Je décida de suivre ces traces, je me retrouva bien vite sur de la neige et les traces ce faisait beaucoup plus visible maintenant. Je m'arrêta finalement en remarquant une forme humaine près d'une arbre. Je distingua que c'était une jeune femme, pourtant des vêtements plutôt légers. Elle devait avoir un moyen de réchauffer son corps, car aucune personne normale ne peut survivre dans ce genre de température habillé ainsi. Je m'approcha finalement de cette jeune femme et m'arrêta à une distance que je jugea sécuritaire pour moi. Je ne savais pas à qui j'avais à faire, donc je faisais attention. J'étais toujours sous forme de loup, lorsque j'arriva pour qu'elle me voit. À cette distance, je remarqua la neige fondre autour d'elle, elle devait posséder quelque chose qui l'empêchait d'avoir froid. Elle m'intrigua beaucoup plus maintenant, pourquoi était-elle là? J'avança encore de quelque pas et tout en avançant, je repris ma forme humaine et enroula ma cape autour de moi, car moi je ne pouvais pas supporter aussi bien le froid qu'elle, même si je le tolérais plus que la plupart des gens. Un sourire ni bien, ni malfaisant apparut sur mon visage. Un sourire plutôt neutre.

" Bonjour, jeune demoiselle, puis-je savoir ce que vous faites ici habillé aussi légèrement? N'avez vous pas froid? " Dis-je simplement pour partir une conversation et voir comment la jeune femme allait réagir à mon arrivé.

© Tumblr

Non, seulement dépaysé !

Une fois que j'étais assise, dos contre l'arbre, j'étais sur mes gardes. Les branches de cet arbre commençait assez bas, ce qui cachait mes cornes de démon. Mes bras, je ne les cachais pas. Jambe de droite tendue, bras droit sur le côté un peu en arrière soutenait mon poids, jambe gauche repliée vers moi et le bras gauche était sur le genou de ma jambe gauche. C'était une position que je prenais régulièrement quand j'admirais le coucher de soleil avec mes ami(e)s. Cela fessait depuis quelque minute que j'étais dans cette position et au même endroit. Je ne n'avais pas mal aux membres. Autour de moi, la neige fondait, cela se voyait ! J'augmenta ma chaleur corporelle, la neige fondait beaucoup plus vite. Un vent glacial vînt, mais pour moi, c'était comme c'est vent frais qui était rare de la Terre des Sables. Je retourna à ma chaleur corporelle que j'avais adoptée avant de la faire monter subitement pour le vent glacial.

Droit devant moi, un loup. Ce n'était pas ces loups sauvages que j'avais l'habitude de voir dans le désert ou que je combattais. Il était blanc. Il n'était pas de la taille normal. Chef de meute ? Non, un chef de meute et un peu plus petit que lui. Peut-être que je pourrais le tuer de la même manière que les autres loups que je tuais habituellement ? Quelque chose me disait qu'il n'était pas normal ce loup. Je ne bougea pas. J'attendis. Il s'approchait de moi et il s'arrêta à une distance qui semblait être sécuritaire pour ce loup. Il réfléchissais comme une véritable personne vivante. Il avança encore. Le loup commençait à se déformer, les mirages n'étaient que dans les déserts et quand on est déshydraté et ce n'était pas de l'eau qui manquait ici ! Il était maintenant debout. Il était humain. Un loup-garou donc ... Intéressant. Il s'enroula autour de la cape qu'il portait. Je me leva et sortis du feuillage de l'arbre. Je montrais ma forme de démone. L'homme souriait plutôt neutre.

" Bonjour, jeune demoiselle, puis-je savoir ce que vous faites ici habillé aussi légèrement? N'avez vous pas froid? "

S'il saurait d'où je viens, il comprendrait pourquoi je suis habillée comme ça.

- Bonjour. Non je n'ai pas froid et ce que je fais ici ? Peut-être que je cherche quelqu'un qui souhaite tuer quelqu'un dont il hait profondément.

Tout le monde veut la mort de quelqu'un.

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Je me tenais toujours devant la jeune fille et la regardait toujours avec le même sourire. Elle finit par se lever et elle s'approcha. Puisqu'elle était cacher par le feuillage de l'arbre, je n'avais pas remarquer certain détail chez la jeune femme. Des cornes. J'en déduit donc qu'elle était un démon. Très intéressant, et j'en conclu également que c'était son corps qui faisait fondre la neige autour d'elle. Elle devait posséder un pouvoir qu'il lui permettait de réchauffer son corps. Une fois que je finis de parler, elle prit la parole.

- Bonjour. Non je n'ai pas froid et ce que je fais ici ? Peut-être que je cherche quelqu'un qui souhaite tuer quelqu'un dont il hait profondément.

Plutôt étrange ça, bon c'était un démon et beaucoup d'entre eux son née avec une arme dans la main et entrainé juste pour tuer, donc cela ne me choqua pas plus que ça. Elle commença à bien m'intéresser, elle pourrait bien me servir dans mes plans. Vu son allure personne pourrait savoir qu'elle travaille pour le souverain de la terre des glaces. Mais peut-être voudrait-elle pas prendre trop de risque, car ce que je risquais de lui demander pourrait lui couter la vie. Mon sourire changea pour un sourire satisfait d'avoir trouver peut-être quelqu'un qui pourrait faire ce que je lui demande.

" Vous aimez tuer, non? J'aurais peut-être quelque chose qui pourrait vous intéresser. " Je me déplaça pour regarder les montagnes. " Mais cela comprend beaucoup de risque. Il ne faut pas avoir peur de la mort. " Je me retourna vers elle et approcha encore un peu, je ne risquait rien, je le sentais, je lui proposais quelque chose d'intéressant.

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Oui, sa m’intéresse ...

Quand je lui dis cela, il sourit, un sourire satisfait. Je le sentais, il voulait tuer quelqu'un.

" Vous aimez tuer, non? J'aurais peut-être quelque chose qui pourrait vous intéresser. "

Si j'aimais tuer ? Depuis toute petite j'aimais tuer. Voir le sang coulez de plaie qu'on a fait à sa victime qui peut être douloureuse et mortelle. Voir aussi la peur, la pitié de sa victime. C'est drôle de voir ça. Il a dit que cela pourrait m'intéresser. Il se déplaça vers les montagnes et les regarda.

" Mais cela comprend beaucoup de risque. Il ne faut pas avoir peur de la mort. "

Moi avoir peur de la Mort ? Je n'avais pas peur de la Mort. Jamais. Quand je l'ai connu, c'était quand j'ai tuée le loup sauvage. Je l'ai vu ce jour là. Elle m'avait soufflée à l'oreille qu'elle souhaitait devenir mon amie. Quand je tuais de plus en plus, on était les meilleures amies. Je tuais que pour elle. Elle était ma seule amie. Je ne savais pas très bien me faire des amis. Il c'était tourner vers moi et s'approcha un peu. Je souris sadiquement.

- Sachez que j'aime les risques et que la Mort ne m'a jamais fait peur. Je tue que pour elle pour le moment.

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Après lui avoir parler de mon idée qui pourrait l'intéressé, je vis un sourire sadique apparaître sur son visage. Un vrai démon, j'aimais bien cette jeune femme. Elle me répondit ensuite.

- Sachez que j'aime les risques et que la Mort ne m'a jamais fait peur. Je tue que pour elle pour le moment.

Je l'aimais encore plus on allait bien s'entendre tout les deux, je n'avais aucun doute qu'elle accomplirait tout ce qu'on lui demande tant que c'est pour éliminer quelqu'un. Elle allait mettre très utile dans mes plans de conquête sur les autres terres. Je croisa les bras en la regardant toujours et je pris la parole.

" C'est parfait alors, travailler pour moi et je vous donnerez des cibles à éliminer si vous acceptez deux petites conditions ! " Oui, car avec moi il y à toujours des conditions, je suis prudent, je ne veux pas me faire repérer. " Vous ne devrez jamais poser de question de pourquoi vous devrez éliminer cette personne et si il venait à vous faire prendre ne jamais révéler de qui et de ou vous prenez les ordres. " Je regarda la jeune femme dans les yeux, j'étais certain que cette jeune femme n'allait pas dire un mot, cela ce voyait qu'elle avait reçu un entrainement dur. " Si ces conditions vous conviennent et que vous me décevez pas, je vous donnerai une généreuse récompense. "

Je m'approcha encore d'elle pour être tout près cette fois et je lui tendis la main comme pour sceller notre accord. " Alors êtes-vous d'accord, mademoiselle ...? " Je laissa trainer le dernier mot pour lui montrer que je voulais connaître son nom. Je lui révèlerai le mien après bien sûr ce ne serait pas juste.

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Oui, je suis d'accord

Il croisa les bras en me regardant toujours. Il avait des projets. Facile à voir.

" C'est parfait alors, travailler pour moi et je vous donnerez des cibles à éliminer si vous acceptez deux petites conditions ! "

Toujours des conditions dans des contrats, toujours. Parfois, c'était bien, mais pas toujours. Dès qu'il aura terminé de dire ses conditions, je dirais quelque chose aussi moi.

" Vous ne devrez jamais poser de question de pourquoi vous devrez éliminer cette personne et si il venait à vous faire prendre ne jamais révéler de qui et de ou vous prenez les ordres. "

- Je ne pose jamais ces questions, tout ce que je veux, c'est tuer et voir la peur, la pitié et autres dans les yeux de la victime. Et je sais garder un secret. Et je voudrais aussi avoir de la liberté ! Sinon, tout me va.

Il me dit cela et je l'avais répondu dans les yeux, il me regardait dans les yeux. Je ne détournai jamais le regard, c'était un signe de faiblesse chez nous, qu'on ne vaut pas être un démon, on devait se sentir honoré d'être un démon !

" Si ces conditions vous conviennent et que vous me décevez pas, je vous donnerai une généreuse récompense. "

" Généreuse récompense " avait-il dit. Ces mots résonnèrent dans ma tête. Ces 2 mots ... J'avais hâte de savoir ce que c'était cette récompense. Il s'approcha encore de moi, il était tout près de moi là. Il me tendit la main, je la regarda.

" Alors êtes-vous d'accord, mademoiselle ...? "

Je réfléchis. Pas au contrat. Je savais que je devais lui serrer la main, mais justement c'est là le problème, mon bras ... Je risquais de le blesser mais heureusement, y avait une technique qu'on utilise dans mon village. Je mis mon autre main sur mon bras et il pris la forme d'un bras humain, tout à fais pour moi. Je le serra la main et dis.

- Saw Deamon. Et vous ?

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- Je ne pose jamais ces questions, tout ce que je veux, c'est tuer et voir la peur, la pitié et autres dans les yeux de la victime. Et je sais garder un secret. Et je voudrais aussi avoir de la liberté ! Sinon, tout me va.

- Saw Deamon. Et vous ?

" Vincent Snow, Souverain de la Terre des Glaces. "

" Surtout ne me décevez pas, je n'aime pas les incapables. "

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On commence quand ?

Quand je lui ai dit que je voulais aussi avoir de la liberté, cela ne le déranger pas à première vue. Tant mieux. Je m'entraîne tout les jours pour devenir plus puissante. Je crois que ses plans mettent du temps à se préparer et quand le grand jour arrive, il doit avoir aucune faute. D'abord, si lui il ne voulait pas se faire chopper, moi non plus et puis ... Personne ne me verra, que les morts. Je sens quand on me regarde, je sais dans quel direction on me regarde.

Il avait toujours ce sourire satisfait sur son visage quand je lui serrais la main. Je lui dis mon prénom. Et il me dit le sien.

" Vincent Snow, Souverain de la Terre des Glaces. "

Il relâcha ma main qui devînt aussi tôt une main démoniaque. Je vois ... Comme je l'avais penser il avait un haut rang dans la société. Ces vêtements en disait long mais comme on dit, les apparences sont parfois trompeuse. Je fessais toujours confiance à mon instinct. Il allait être un puissant allié;

" Surtout ne me décevez pas, je n'aime pas les incapables. "

Moi non plus. Je ris doucement et presque sadiquement. Je le regarda.

- Parce que vous croyez que je le suis ? Je peux très bien faire un chantier avec un seul corps et plusieurs ... Vous-avez déjà trouver ma première victime ? Pour que je vous montre mes talents.

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- Parce que vous croyez que je le suis ? Je peux très bien faire un chantier avec un seul corps et plusieurs ... Vous-avez déjà trouver ma première victime ? Pour que je vous montre mes talents.

" Non, je ne crois pas que vous le soyez, mais je ne peux pas prendre de risque, nous venons de nous rencontrer, alors... "

" Vous commencerez par quelque chose de simple, un vieillard, un bon ami de l'ancienne reine. "

" Si vous arrivez à l'éliminer sans vous faire remarquer ou alerter qui que ce soit, je vous donnerez quelque chose de beaucoup plus difficile. "

" Alors, cela vous conviendra-il ? "

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J'accepte

" Non, je ne crois pas que vous le soyez, mais je ne peux pas prendre de risque, nous venons de nous rencontrer, alors... "

Il a pas confiance en moi. Je peux cependant le comprendre, moi aussi je ferais pareille sauf que moi, je ne fais confiance à personne et c'est bien mieux ainsi. Il commença à réfléchir, il avait plein de nom en tête j'en suis sûr. J'augmenta ma chaleur corporelle, un vent glacial vînt. Plus frais et plus fort que le précédant. Une fois passer, je baissa ma chaleur corporelle. J'avais remarqué que autour de moi, la neige avait fondu, comme avant, quand j'étais assise à mon arbre.

" Vous commencerez par quelque chose de simple, un vieillard, un bon ami de l'ancienne reine. "

Je leva la tête et le regarda droit dans les yeux. Il commença à me donner des informations. SOn nom, la ou je pourrais le trouver.

" Si vous arrivez à l'éliminer sans vous faire remarquer ou alerter qui que ce soit, je vous donnerez quelque chose de beaucoup plus difficile. "

Vivement le plus difficile !

" Alors, cela vous conviendra-il ? "

- Bien sûr

Je me tourna vers la droite, je tendis la main vers moi, comme si je voulais attraper quelque chose. Personne ne me verra, puisque que je n'irai pas. Ma main fit comme si je tenait quelque chose en main. Cet objet apparu en flamme. Un arrosoir. Je versa quelque goutte et redressa l'arrosoir. J'avais tuer quelque personne avant de venir ici. C'était un objet que chaque personne ont dans notre village. Il contenait un liquide, de l'eau ont pourrait dire mais non, chez moi, ont la surnomme " l'eau de la mort ". Chaque fois que ont tue, ont gagne l'âme du défunt, ont a cas verser cette eau sur le sol et des personnes prennent forme. 2 Personnes se tenait là, devant moi en tenu de voyageurs. Je fis disparaître l’arrosoir et commença à leurs parler dans ma langue. Une langue de démon ont pourrait dire.

Une fois terminer, ils sont parti faire se que je leurs avait demandé. Aller chercher le vieux.

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- Bien sûr

" Qui était ces personnes? Que leur avez-vous dit? "

Pendant que je parlais aux jeune voyageurs que j'avais tué quand j'étais venue ici, Vincent avait croiser les bras et avait regarder la scène, intriguer. Une fois que les voyageurs avait disparut de mon champ de vision, Vincent parla.

" Qui était ces personnes? Que leur avez-vous dit? "

Toujours pareille ...

- Ces personnes était des voyageurs que j'ai tuée pendant que je venais ici. Je leurs donna les informations que vous m'avez donner sur le vieillard et des instructions précises. Sa va durez du temps avant qu'ils reviennent.

Quand on tue les animaux chez moi, celui qui a tué l'animal peut avoir l'âme du défunt, et quand il le souhaite, l'utiliser, ce qui est bien la dedans, c'est qu'il se plie aux ordres qu'ont lui donne. De plus, le corps ne sent pas le sang ou la mort. Mais ils peuvent le sortir au bout d'un moment. Après 2j, il le sentent et il faut le tuer, moi je libère l'âme.

Je retourna à l'arbre, m'assis le dos contre le tronc comme avant. On devait parfois être patient, j'étais entraîner pour l'être.

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- Ces personnes était des voyageurs que j'ai tuée pendant que je venais ici. Je leurs donna les informations que vous m'avez donner sur le vieillard et des instructions précises. Sa va durez du temps avant qu'ils reviennent.

" Dite-moi d'où venez-vous? À première vue, pas des terres de glace. "

Quand je me suis assise à mon arbre, il se tourna sur le côté et regarda le ciel. Gris, les nuages menacent de faire tomber des flocons. Je ferme les yeux, essayant d'imaginer là où j'étais avant. Dans un désert aride, quelques plantes sont là, ont voit du sable à perte de vue, mais il y a aussi des canyons. J'aimais bien y aller dans ses canyons pour me battre avec les animaux sauvages et ramener leurs cadavres pour les manger. Vincent me posa une question.

" Dite-moi d'où venez-vous? À première vue, pas des terres de glace. "

Je souris, ouvrit mes yeux couleur rouge sang. Lui, c'était sûr, il vient des Terres de Glace. Je lui répondis.

- Je viens des Terres de Sables.

Je ne dis pas plus, je répond à sa question. J'avais hâte d'utiliser mon épée, pour le moment, je devais prendre mon mal en patience.

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- Je viens des Terres de Sables.

" Vous avez surement eu un entrainement intense pour maitriser ce que vous venez de faire, alors que vous-êtes si jeune "

" Vous avez surement eu un entrainement intense pour maitriser ce que vous venez de faire, alors que vous-êtes si jeune "

Je ris. C'est drôle quand les gens ne savent pas comment ont fait. ça fait nos petits mystères. Nos secrets.

- Dans mon village, tout le monde c'est faire ça. Ont ne tue pas des gens, ont tuent des animaux, les gens de chez moi font comme ce que je viens de faire pour les 2 gens ils aident ensuite à faire des choses. Mais tuer un être vivant comme vous et moi ou tuer un animal c'est pareil.

Le vent souffler plus fort, j'augmente ma chaleur. Les nuages devenaient de plus en plus gris. Il va avoir une tempête, se serai bien s'ils pouvaient se dépêcher ! J'espère qu'ils seront revenus avant le coucher du soleil avec l'homme.

- Nous sommes entraînés depuis que nous savons parler et marcher. J'ai tuée mon premier animal sauvage à 4ans. J'ai fais vite le tour du village, car c'était surtout comment je l'ai tuée. Ont peut dire que chez moi, tout le monde est né avec une arme dans la main.

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- Dans mon village, tout le monde c'est faire ça. Ont ne tue pas des gens, ont tuent des animaux, les gens de chez moi font comme ce que je viens de faire pour les 2 gens ils aident ensuite à faire des choses. Mais tuer un être vivant comme vous et moi ou tuer un animal c'est pareil.

- Nous sommes entraînés depuis que nous savons parler et marcher. J'ai tuée mon premier animal sauvage à 4ans. J'ai fais vite le tour du village, car c'était surtout comment je l'ai tuée. Ont peut dire que chez moi, tout le monde est né avec une arme dans la main.

" Ils ne devraient plus tarder, maintenant... Mais n'ayant pas votre endurance au froid sous cette forme, je vais me transformer... "

" Ils arrivent... "

Il commença enfin à bougeais. Il était tant ! Sinon, Vincent serais transformer en bloc de glace. Il s'approcha de moi, il s'arrêta à une distance, où je crois, qu'il pouvait sentir la chaleur que je produis. Il resta planter là, à regarder là où les deux personnages que j'avais fais apparaître sont partis. Je regarde aussi dans cette direction. Le temps passe et des flocons commencèrent à tomber des nuages gris qui recouvrait tout le ciel. Cet inoffensif tomber de flocons se transforma en un blizzard qui fessait qu'on ne pouvait voir qu'à 10 mètres ou moins. Vincent ce tourna vers moi et je le regarda.

" Ils ne devraient plus tarder, maintenant... Mais n'ayant pas votre endurance au froid sous cette forme, je vais me transformer... "

Mon endurance au froid n'est dû qu'à mon pouvoir, aurais-je voulut dire, mais je me retiens de dire cela. Je voulais lui réserver la surprise de mon pouvoir qui est le feu. Pas très étonnant comme pouvoir de la part d'un démon et d'un habitant des Terres de Sables. Il prit sa forme de loup blanc. Son pelage ce camoufler parfaitement dans le blizzard, sauf ses yeux. Il s'assit, il tourna la tête vers la direction où il regardait plus tôt et je fis de même.

" Ils arrivent... "

Moi aussi j'aperçus les silhouettes, plus deux, mais trois. Je me leva, toujours en regardant là où les silhouettes se rapprochaient. Je ne fis pas apparaître mon épée, je comptais utiliser la même technique que j'avais utiliser pour tuer mon premier animal, ma première âme. Quand ils furent à 20 mètres de nous, les deux âmes que j'avais fais apparaître plus tôt prirent l'homme par les épaules fermement, l'empêchant tout gestes brusquent, suspect et l'empêchant ainsi de fuir. Je sortis mes poignards, mes précieux poignards. J'en lança un, il se planta dans la jambe gauche de l'homme, l'obligeant ainsi à poser un genou à terre, se pliant à la douleur et criant de douleur. Je fis de même à son autre jambe, il cria aussi de douleur. Maintenant, il ne pouvait plus s'échapper. Je savourais ses cris, ses expressions sur son visage : la douleur qui remontait de sa jambe jusqu'à son visage qui exprimer son visage, la peur de la mort qui était dans ses yeux. Je sentais la Mort à côté de moi. Ma seule est véritable amie ... Celle qui remplit ce trou de la solitude ... La compagne de mes nuits, me chuchotant à l'oreille pendant que je dors des nouvelles techniques pour voir plus d'expression sur le visage de mes victimes. Je m'approcha de lui. Je range mes poignards, j'hésitais à lui offrir une mort douce et rapide ou une mort lente et affreusement douloureuse.

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" Fait le souffrir... "

" Je veux voir ce dont un véritable démon est capable de faire à sa victime ! "

" Fait le souffrir... "

Un sourire glacial apparut sur mes lèvres.

" Je veux voir ce dont un véritable démon est capable de faire à sa victime ! "

Je m'approcha en courant de l'homme, arracha sauvagement les deux poignards de ses jambes. D'une précision remarquable, je coupa la main gauche de l'homme. Il hurla de douleur. Si je le laisse ainsi, il se videra de son sang, mais non, j'avais une autre idée en tête. Je pris mes deux poignards par la lame et commença à réchauffer mes mains. Elles étaient très chaudes et maintenant, les lames de mes poignards étaient très chaudes. Je fit disparaître la chaleur de mes mains, reprit mes poignards par la garde et doucement, je fis deux petites entailles, mais profonde et je fis le tout très doucement, l'homme hurla de douleur, plus longtemps cette fois-ci. Je retira mes poignards et les rangea. Je recula. Dans ma main gauche, des flammes commencèrent à prendre vie. De plus en plus longues, elles semblèrent dessiner quelque chose de long. Mon épée. Pendant qu'elle prenait vie, je regardais l'expression terrifiait de l'homme. Là où il n'y avait plus de main, le sang coulait abondamment. Là où y avait les deux perforations sur la poitrine, le sang gicler. Quand il respire, le sang part, il souffre pendant qu'il respire. Elle finit de prendre forme et je la leva au-dessus de ma tête. Il commença à s'agiter. Je ne l'abattis pas, je me concentrais. D'un coup, il prit feu, il hurla. Je souriais jusqu'aux oreilles maintenant. Les deux êtres que j'avais invoquer sauta en arrière. Tandis que moi, j'abattis mon épée sur l'homme. Je le trancha en deux. Le feu arrêta de brûler et je regarda mon chef-d'oeuvre. J'espère qu'il plait à la Mort. Mon épée disparut.

- Alors ? ... Cela vous a plu ?

Je dis cela avec une étrange voix et je gloussa de rire.

I am the Lord of Lies Messages : 36 Date d'inscription : 30/04/2014

J'attendais désormais qu'elle se mette au travail en regardant le vieillard. La jeune femme s'approcha rapidement de l'homme pour lui retirer les poignards de ces jambes et avec une grande précision elle coupa la main gauche de l'homme qui hurla de douleur. Ensuite, elle prit ses armes par la lames et je vis qu'elle les chauffa. Elle les reprit normalement pour faire de petites entailles à l'homme qui continuait de hurler de douleur. Saw reprit ses poignards et les rangea, elle recula ensuite et dans sa main gauche des flammes apparurent et elle commencèrent à devenir de plus en plus longue et finalement elle prit la forme d'une épée. Lorsqu'elle prit complètement forme elle la leva au dessus d'elle, les yeux de l'homme montrait de la peur et de la douleur. Elle resta immobile et l'homme s'agita et soudain, il prit feu, les deux invocations reculèrent et pour terminé sa torture, Saw abattit son épée pour trancher le vieillard en deux. Le feu s'arrêta et l'épée de la jeune femme disparut.

- Alors ? ... Cela vous a plu ?

Je m'approcha d'elle et du corps du vieillard, je repris ma forme humaine et je souris. Il l'avait bien mérité. Je leva la main et la neige commença à recouvrir les traces et le reste du corps de l'homme. Même si il n'y avait pratiquement personne qui venait ici, je ne prendrais pas de chance qu'on le retrouve et sous une couche de neige et de glace, personne ne le retrouverait. Je regarda ensuite la jeune femme.

- Oui, c'était parfait ! Si vous faites cela à toutes vos victimes on s'entendra très bien !

Je m'enroula à nouveau dans ma cape, car le vent se faisait plutôt fort.

- Je crois bien que je pourrai vous donnez des cibles plus difficile à partir de maintenant, d'après ce que j'ai pu voir, vous êtes très forte et je n'aurai pas à m'inquiéter.

Je sortis ensuite un petit sac avec de l'argent dedans.

- Ce n'est pas grand chose, mais c'est tout ce que j'ai sur moi pour l'instant, si vous faites bien ce que je vous demande, vous aurez plus que ça.

Je lui lança pour qu'elle puisse l'attraper, car je n'étais pas complètement à côté d'elle.

Il s'approcha de moi sous sa forme de loup. Il reprit finalement sa forme humaine et il sourit. Preuve que mon chef-d'oeuvre lui plait. Même à la Mort. Il leva une main et la neige commença à recouvrir le cadavre. Les deux êtres que j'avais invoquer s'approchaient en silence vers moi. Je prononça quelque chose dans ma langue et tous les deux commencent à s'évaporer. Quand je donnais un travail à l'une des âmes que j'avais tuer et qu'elle l'accomplissait, je lui rendais leur liberté. Hors de Question de les tuaient à nouveau et de reprendre leur âme, si on fessait ça plusieurs fois, on mourra, j'ignore comment. De plus, si on les invoque et qu'ils restent plus d'un jour dans le monde des vivants, ils pourrissent. J'avais à présent l'âme de l'homme que j'avais tuer. Je verrais de quoi faire de cette âme. Vincent me regarda.

- Oui, c'était parfait ! Si vous faites cela à toutes vos victimes on s'entendra très bien !

- Je change parfois de technique, ça fais parfois du bien de changer un peu les bonnes vieilles habitudes.

Il s'enroula autour de sa cape. Le blizzard continuait à tomber et le vent se fessait fort.

- Je crois bien que je pourrai vous donnez des cibles plus difficile à partir de maintenant, d'après ce que j'ai pu voir, vous êtes très forte et je n'aurai pas à m'inquiéter.

Il sorti à petit sac avec de l'argent dedans.

- Ce n'est pas grand chose, mais c'est tout ce que j'ai sur moi pour l'instant, si vous faites bien ce que je vous demande, vous aurez plus que ça.

Il me lança le sac que je rattrapa sans problème. Je le rangea et regarda l'homme.

- Cela ne fait rien. Je ne vais que rarement en ville, j'y vais seulement pour acheter un peu de nourriture, mais surtout des outils pour tuer.

Je chassais plutôt et l'eau ne manque pas ici et il faut dire que je préfère la solitude. Je m'avança vers lui et je tendis ma main.

- Comme je ne serais pas toujours là en ville, presque jamais, il faut que je vous donne un moyen pour me contacter ou plutôt, un moyen pour parvenir jusqu'à moi. Donnez-moi votre main.

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- Je change parfois de technique, ça fais parfois du bien de changer un peu les bonnes vieilles habitudes.

Pendant que j'avais enterré le corps de l'homme, la jeune femme avait fait disparaître les deux invocations. Je lui lança ensuite l'argent qu'elle attrapa sans aucune difficulté et qu'elle rangea.

- Cela ne fait rien. Je ne vais que rarement en ville, j'y vais seulement pour acheter un peu de nourriture, mais surtout des outils pour tuer.

La jeune assassin s'approcha de moi et elle me tendit la main.

- Comme je ne serais pas toujours là en ville, presque jamais, il faut que je vous donne un moyen pour me contacter ou plutôt, un moyen pour parvenir jusqu'à moi. Donnez-moi votre main.

Il est vrai qu'elle ne semblait pas trop du genre à aller se balader en ville comme ça. Je risquais d'avoir du mal à la trouver lorsque j'aurai quelque chose pour elle, mais on dirait bien qu'elle savait comment faire pour que je puisse communiquer avec elle. Je lui donna ma main qui était gelé, pas seulement, car il fait froid, mais mon corps est froid en permanence. Je ne savais pas ce qu'elle allait faire, mais j'étais sûr que ce n'était pas un piège pour me tuer. J'attendis la suite sans dire un mot.

Il me tendit sa main sans dire un mot, bien. Sans rendre ma main humaine, ma main démoniaque pris la main de Vincent, sa main était dans ma paume. Mon autre main pris le poignet de Vincent et je fis monter ma chaleur corporel, plus exactement, celle de mes mains. De la fumer s'échapper de celle de ma main qui tenait le poignet de Vincent. Chez mi, on le fessait souvent, on ne sentait pas la chaleur, c'était très agréable quand on fessait ce sort. J'enleva mes mains et y avait un tigre à dent de sabre tatouer sur son poignet.

- Vous n'avez cas appuyez votre pouce sur le tigre et vous devez dire que vous voulez me voir, il vous accompagnera jusqu'à moi, par contre, faite le en dehors de la ville, je vous le conseille.

Je recula et fit dos à Vincent.

- Au revoir

Et je disparus dans le blizzard.

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